Massacre de phoques au Canada.

12/02/2012 21:01

 

Les liens que je vais installer sur cet article, sont des liens de vidéo et de site. Cette vidéo n'est pas  très jolie à voir ! 

 

Mais c'est le but, il faut commencer par sensibiliser les personnes ...  

 

L'une des pires vidéos sur le massacre des phoques au Canada, leur gouvernement accepte que des millions de phoques soient tués ... QUELLE HONTE ! :

 https://www.youtube.com/watch?v=aP1fBGu7WjE&feature=related

 

Vous trouvez ce phoque mignon ?

Et bien cela ne l’empêche pas d'être menacé par la créature la plus cruelle de cette planète, l'Homme ! La chasse aux phoques au Canada est le plus important et le plus cruel massacre de mammifères marins dans le monde ... Les phoques sont principalement  tués pour leur peau, qui sera utilisée par l'industrie de la mode. Les phoques sont tués à coups de gourdin ainsi qu'au fusil. Quelle que soit la méthode utilisée pour chasser les phoques, rien n'assure qu'ils soient tuées sur le coup ! Beaucoup d'entre eux se font retirer leur  peau  alors qu'ils sont encore vivants. Chaque année, des centaines de milliers de bébés phoques du Groenland sont massacrés sur la banquise au large de la côte Est du Canada pour leur peau. Plus de 95% des phoques tués au cours de cette chasse n'ont que quelques jours ou semaines ... Ils ne le méritent pas !!!!!!!!!!!!!! 

 

ALORS ALLEZ SIGNER LA PéTITION SUR :  

 

https://www.chasse-aux-phoques.com/

 

C'est un peu long mais très interressant, lisez vous verrez !!!!! 

 

Mythe n° 1 : Le gouvernement du Canada permet aux chasseurs d’abattre d’adorables petits phoques blancs.

Réalité : Les images du blanchon du Groenland sont largement mises en évidence par les opposants à la chasse au phoque. Elles donnent la fausse impression que des bébés phoques vulnérables sont ciblés par les chasseurs au cours de la chasse commerciale.

La chasse des petits du phoque à capuchon (dos bleus) et des petits du phoque du Groenland (blanchons) est interdite – et ce, depuis 1987. Le Règlement sur les mammifères marins interdit le commerce, la vente ou le troc des fourrures de ces petits phoques. De plus, il est interdit de chasser les phoques dans les aires de reproduction ou de mise bas.

Mythe no 2 : Les phoques sont écorchés vifs – plusieurs groupes de défense des animaux disposent d’images sur vidéo pour le prouver.

Réalité : Selon le dernier rapport de l’Association canadienne des médecins vétérinaires (ACMV) et les nombreux rapports mentionnés par la Commission Malouf (1987), ces allégations sont fausses.

Parfois, un phoque semble bouger après avoir été abattu à l’aide d’un gourdin. Même quand ils sont morts, les phoques ont des convulsions attribuables au « réflexe de la nage ». Ce réflexe donne la fausse impression que l'animal est toujours en vie alors qu'il est manifestement mort. Il est semblable au réflexe des poulets.

Mythe no 3 : Les phoques abattus ne sont pas autonomes – ils dépendent toujours de leur mère et ne peuvent même pas nager ni se nourrir.

Réalité : Seuls les phoques sevrés et autonomes qui ne dépendent plus de leur mère et qui se débouillent seuls, sont chassés.

La grande majorité des phoques du Groenland capturés ont plus de 25 jours et ont déjà perdu leur fourrure blanche depuis un certain temps. Les phoques du Groenland nagent à ce stade de leur croissance. Les phoques s'alimentent en fonction de ce qui est disponible. Ils engloutissent tout ce qu'ils peuvent trouver dans leur environnement.

Mythe no 4 : D’innombrables phoques abattus à l’aide d’un gourdin ou d’une arme à feu sur la glace glissent dans l’eau, sont perdus et ne sont jamais pris en compte.

Réalité : Selon les données sur les phoques « abattus et perdus » recueillies par les observateurs en mer et le rapport de l’ACMV, c’est faux. D’ailleurs, moins de 5 % des phoques abattus sont perdus pendant la chasse au phoque commerciale au Canada.

D’abord, la majorité des phoques du Groenland pris au Canada sont abattus sur la banquise plutôt que dans l’eau, ce qui réduit grandement les pertes par rapport à d’autres endroits comme le Groenland. Deuxièmement, les phoques du Groenland au stade des « brasseurs » ont beaucoup de graisse, ce qui les fait flotter. Par conséquent, étant donné les propriétés flottantes de l’eau salée, les chasseurs récupèrent facilement les phoques qui glissent dans l’eau après avoir été abattus.

Mythe no 5 : Le gouvernement du Canada autorise les chasseurs à abattre près d’un million de phoques pour favoriser le rétablissement des stocks de morue.

Réalité : Plusieurs facteurs ont contribué à entraver le rétablissement des stocks de morue, dont la pêche, la mauvaise condition physique des poissons, leur taux de croissance peu élevé et des changements environnementaux. Les phoques mangent de la morue, mais ils mangent aussi d'autres poissons qui, eux, se nourrissent également de morue. Il est donc difficile d’identifier un facteur qui serait responsable à lui seul du déclin des stocks de morue.

En outre, il existe beaucoup d'incertitude dans l'estimation de la quantité de poissons consommée par les phoques. Le quota commercial de chasse au phoque est fondé sur de solides principes de conservation, et non sur des objectifs de rétablissement des stocks de poisson de fond.

Mythe no 6 : Le gourdin – ou le hakapik – est un instrument barbare qui n’a pas sa place dans le monde d’aujourd’hui.

Réalité : Les chasseurs de phoques se servent de gourdins depuis les débuts de la chasse il y a des centaines d’années. Les chasseurs norvégiens sont à l’origine du hakapik et le trouvaient très efficace. Au fil des ans, des études menées par divers spécialistes en médecine vétérinaire et des études américaines réalisées entre 1969 et 1972 sur la chasse des îles Pribilof (Alaska) ont démontré de façon constante que le gourdin (ou hakapik) est une arme efficace pour abattre l’animal rapidement et sans cruauté. Dans un rapport publié en septembre 2002, l’Association canadienne des médecins vétérinaires a présenté des résultats semblables à ces conclusions.

Mythe no 7 : Les méthodes utilisées pour tuer les phoques sont beaucoup plus cruelles que celles utilisées pour chasser ou abattre tout autre animal domestique ou sauvage.

Réalité : La Commission royale sur les phoques et l'industrie de la chasse au phoque s'est penchée sur les méthodes de chasse et a conclu que la chasse au gourdin, lorsqu'elle est pratiquée correctement, n'est pas plus cruelle, et est même souvent moins cruelle, que les méthodes d'abattage utilisées dans les abattoirs commerciaux, lesquelles sont acceptées par la majorité de la population.

Mythe no 8 : La chasse n’est pas une activité durable.

Réalité : Depuis les années 1960, les groupes écologistes affirment que la chasse au phoque n’est pas une activité durable. En fait, la population de phoque du Groenland est en santé et abondante. Le troupeau de phoques de l’Atlantique Nord-Ouest, qui compte plus de cinq millions d’individus, a presque triplé depuis les années 1970. Le MPO fixe les quotas de manière à assurer la santé et l’abondance des troupeaux de phoques. Les phoques – et les phoques du Groenland en particulier – sont loin d’être « en voie de disparition ».

Mythe no 9 : La « chasse » ne fait que masquer l’abattage sélectif visant à réduire la population de phoques du Groenland.

Réalité : La chasse au phoque ne constitue pas un abattage sélectif. Il s’agit d’une pêche commerciale durable et viable fondée sur des principes de conservation rigoureux. D’ailleurs, le Ministère a adopté une approche de gestion des pêches par objectifs qui fait appel à des mesures de contrôle et des seuils de référence pour décider des mesures à prendre pour gérer la chasse au phoque du Groenland. Cette approche aidera à établir le niveau de récolte en fonction du marché, ce qui permettra aux chasseurs de maximiser leurs profits sans nuire à la conservation de la ressource. Si le total autorisé des captures (TAC) actuel sur trois ans est atteint en entier, la population sera maintenue au-dessus du seuil de 70 % de la taille maximale observée du troupeau, établie lors du dernier recensement, en 1996.

Le MPO tient compte d’un certain nombre de facteurs pour établir le TAC du phoque du Groenland, notamment l’état des glaces, le taux de mortalité des petits, le taux de mortalité naturelle, les prises accessoires, la chasse menée au Groenland et dans l’Arctique et les niveaux de récolte commerciaux.

Mythe no 10 : Les chasseurs touchent si peu de revenus de la chasse au phoque qu’il ne s’agit pas d’une industrie viable.

Réalité : La valeur des débarquements de phoques en 2004 a été de 16 millions de dollars. Le prix des peaux a atteint 70 $ dernièrement. Cette activité représente une source de revenus importante pour certains chasseurs. Les revenus sont générés sur une période très courte. La chasse au phoque crée également des perspectives d’emploi dans le secteur de l’achat et dans les usines de transformation.

Certains intervenants américains ou européens considèrent peut-être les revenus de la chasse au phoque comme négligeables, mais les chasseurs déclarent que les revenus qu’ils tirent de cette activité représentent entre 25 et 35 % de leur revenu annuel global. Des milliers de familles dans nombre de localités côtières éloignées de l’Est du Canada bénéficient également de la chasse au phoque à un moment de l’année où les autres possibilités de pêche sont limitées, voire inexistantes.

Mythe no 11 : Le gouvernement du Canada subventionne la chasse au phoque.

Réalité : Le gouvernement du Canada ne subventionne pas la chasse au phoque. La chasse au phoque est une industrie viable sur le plan économique. Toutes les subventions ont cessé en 2001. Même avant, les subventions accordées visaient le développement du marché et des produits, notamment une subvention pour la viande, en vue de favoriser l’utilisation complète des carcasses. En fait, le gouvernement a accordé moins de subventions à l’industrie de la chasse au phoque que l’avait recommandé la Commission royale sur les phoques et l'industrie de la chasse au phoque.

Mythe no 12 : La chasse au phoque n’en vaut pas la peine. Les phoques ne sont chassés que pour leur fourrure et le reste de l’animal est gaspillé.

Réalité : Depuis des siècles, l’homme chasse le phoque pour en tirer de la nourriture ou du combustible, pour s’en faire un abri ou pour d’autres usages. La chasse de subsistance fait partie du patrimoine culturel canadien. Le Canada exporte des produits du phoque sous trois formes : les peaux, l’huile et la viande. Par le passé, les peaux ont constitué l’essentiel des exportations, mais la production d’huile à des fins de consommation humaine prend de plus en plus d’importance depuis quelques années. Les marchés d’huile de phoque restent intéressants, et un grand pourcentage de l’huile de phoque trouve des usages ailleurs que dans les secteurs traditionnels des huiles marines et industrielles.

Le Ministère encourage l’utilisation maximale des produits du phoque, particulièrement la peau et l’huile, l’utilisation en artisanat, sans compter, ces dernières années, la consommation humaine et animale de la viande, ainsi que la fabrication de capsules à base d’huile de phoque, riche en Oméga 3. De plus, plusieurs espèces de détritivores marins, comme des crustacés, des oiseaux et des poissons, se nourrissent des parties de phoques laissées sur la glace.

Mythe no 13 : La chasse au phoque ne fait l’objet que d’une surveillance approximative et le MPO ne pénalise par les activités ou pratiques illégales.

Réalité : La chasse au phoque fait l’objet d’une surveillance étroite et d’une réglementation rigoureuse. Le Canada fait respecter les règlements de façon stricte et complète. Les règlements et les politiques sur la délivrance des permis déterminent les saisons de chasse, les quotas, la grosseur des bateaux et les méthodes d’abattage. Les agents des pêches surveillent la chasse de différentes façons pour veiller à ce que les chasseurs se conforment au Règlement du Canada sur les mammifères marins. Ils surveillent la chasse au moyen de patrouilles aériennes, de patrouilles de surface (à bord de bateaux), d’inspections à quai des bateaux aux lieux de débarquement, ainsi que d’inspections aux points d’achat et dans les usines de transformation. En 2004, les agents des pêches ont consacré environ 8 600 heures à des activités de surveillance et d’application de la loi. Dans les cinq dernières années, 94 accusations ont été déposées; les accusés ont été reconnus coupables dans 57 de ces cas.

Les chasseurs de phoque ont reçu une bonne formation sur les techniques de chasse sans cruauté; collectivement, ils ont un comportement responsable et respectueux de la loi. Les allégations selon lesquelles les chasseurs de phoques contreviendraient largement aux lois et règlements ne sont pas fondées.

Mythe no 14 : Si les chasseurs capturent plus de bêtes que leur quota, le MPO se contente d’augmenter le quota pour eux.

Réalité : Le gouvernement du Canada applique des mesures de conservation rigoureuses; il est résolu à assurer une gestion prudente de tous les phoques pour que les populations restent saines et vigoureuses dans les années à venir. 2005 est la dernière année d’un plan triennal de gestion de la chasse au phoque du Groenland. Le TAC du phoque du Groenland a été fixé à 975 000 bêtes pour la période 2003-2005, et il n’a pas été augmenté. Ce plan de gestion pluriannuel a été élaboré en consultation avec plus d’une centaine d’intervenants, y compris des groupes écologistes, à l’occasion du Forum sur le phoque de 2002, à St. John’s (Terre-Neuve et Labrador).

Il y a eu deux cas où un dépassement du TAC a été autorisé afin de donner à des chasseurs désavantagés par les conditions environnementales l’occasion de pratiquer leur activité, après qu’une bonne chasse ailleurs eut entraîné une capture hâtive de tout le TAC.

Dans ces cas-là, la décision avait été prise parce que l’on savait que la poursuite de la chasse ne compromettrait en rien la conservation et la durabilité de la ressource.

Mythe no 15 : N’importe qui peut obtenir un permis – même une personne qui n’a jamais chassé avant, et il n’y a aucune formation requise.

Réalité : Avant de pouvoir obtenir un permis de chasse professionnelle, un chasseur doit obtenir un permis d’apprenti et travailler sous la supervision d’un chasseur professionnel pendant deux ans. Les personnes qui demandent un permis de chasse pour usage personnel doivent faire la preuve qu’elles emploient de bonnes techniques de chasse de façon à assurer que l’animal sera abattu rapidement et sans cruauté. Le permis de chasse pour usage personnel n’est délivré qu’aux personnes qui avaient un permis, un certificat de compétence valide de chasseur ou un permis de chasse au gros gibier l’année précédente et qui ont suivi une séance de formation obligatoire.

Mythe no 16 : La majorité des Canadiens s’oppose à la chasse au phoque.

Réalité : Les groupes de défense des animaux qui font campagne actuellement contre la chasse au phoque, citent le sondage Ispos-Reid de 2004 qui rapporte que 71 pour cent des Canadiens s’opposent à la chasse. En fait, les Canadiens appuient les politiques fédérales sur la chasse au phoque. Un sondage Ipsos-Reid mené en février 2005 conclut que 60 pour cent des Canadiens sont en faveur d’une chasse responsable. La méthodologie utilisée pour le sondage de même que les résultats du sondage sont disponibles sur demande.  

 

Maintenant, à vous de voir dans quel clan vous serez, mais c'est impossible et inhumain, que vous soyez insensibles à tous ces massacres de phoques !!!